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Le Cornouiller

Introduction

Fiche descriptive du Cornouiller

Catégorie : Arbuste floral.

Famille : Cornacées.

Utilisation : Décoration en isolé ou en haie, alimentation.

Exposition : plein soleil, mi-ombragé.

Sol : pas sec, calcaire, argileux.

-23°
Température Minimale

28°
Température Maximale

Sommaire

Les outils et matériaux pour la culture du Cornouiller
Réussir son jardin : le Cornouiller
Planter le Cornouiller
Entretien
Récolte et floraison
Maladies et parasites
Les différentes variétés
La compagnonnage

Les outils et matériaux nécessaires à la plantation du Cornouiller

Lors de la plantation du Cornouiller, vous aurez besoin du matériel suivant :

Une bêche.
Un arrosoir.
Un sécateur.
De la paille.
Un ou deux tuteurs.

Réussir son jardin : le Cornouiller

Avant la plantation

Étant donné qu’un cornouiller peut atteindre plus de 10 m de hauteur, il a besoin d’espace. Il a donc besoin de se planter loin des autres arbres et plantes et cela pour l’épanouissement de ses racines. Le sol doit généralement être humide. Selon les variétés, il peut se planter sur les sols les plus riches aux sols les plus pauvres. Avant de le planter, il faudra choisir une zone assez exposée au soleil, mais loin des goudrons, car il craint l’excès de chaleur.

Planter le Cornouiller

Se plantant généralement en pleine terre, que ce soit en automne ou en printemps, il se plante comme n’importe quel autre arbuste :

Préparer le trou en utilisant la bêche, avec une dimension deux ou trois fois plus grande que la motte d’origine.
Retirer les gros cailloux et autres objets pour s’assurer que la terre est bien émiettée.
Hydrater généreusement la motte et le trou, puis libérer les racines trop entremêlées.
Mélanger la terre avec un peu d’engrais organique pour la croissance et la résistance de la plante.
Poser la motte au centre du trou en s’assurant de remettre doucement la terre au bord.
Planter les tuteurs et les attacher avec une ficelle sur deux points avec la plante.

Entretien du Cornouiller

Le cornouiller est un arbuste qui requiert peu d’entretien, il a seulement besoin d’un arrosage régulier et exceptionnellement un taillage annuel.

Il devrait s’arroser tous les 10 jours pour s’assurer que la terre ne soit jamais sèche durant sa croissance. La taille est uniquement pour équilibrer l’arbuste, il faudra attendre pour cela la fin de la floraison en février ou en juillet, selon la variété.

Pour aller plus loin, découvrez notre article sur la taille du cornouiller

Récolte et floraison du Cornouiller

Seul le cornouiller mâle se récolte, on le rencontre actuellement en Europe et en Asie occidentale. La récolte se fait généralement en mois de septembre et octobre, les fruits peuvent se consommer crus, avec un goût au mélange de framboise, de groseille et de cerises.

La floraison apparait normalement entre avril et juin. Selon les variétés, ses fleurs à quatre pétales peuvent avoir soit une couleur blanche, soit du jaune, soit plus communément du rose.

Le bouturage se fait avec les rameaux feuilletés en mai, celui des rameaux lignifiés se fait en octobre. Le bouturage est un moyen facile et onéreux pour multiplier les arbustes.

Maladies et parasites du Cornouiller

On ne répertorie jusqu’ici aucune maladie reliée au cornouiller. Seules les cochenilles peuvent devenir pénibles pour sa santé.

Les différentes variétés du Cornouiller

Il est conseillé de planter généralement 2 variétés dont :

Les cornus spp, enregistrant une cinquantaine d’espèces, aux fruits comestibles, sont recensés notamment :
- Le cornouiller à grappe ou le Cornus racemosa.
- Cornouiller blanc ou le Cornus alba.
- Le cornouiller macrophylla.
- Le mâle ou le Cornus mas.
Le cornouiller sanguin ou cornouiller femelle dont les fruits sont toxiques.

Le compagnonnage

Parmi l’un des premiers arbres à fleurir au début du printemps, le cornouiller peut s’accompagner d’autres arbustes à fleurs comme :

Les Tsugas ou le Pin blanc, grands arbres au contraste de forme, qui met en valeur le cornouiller
Le Forsythia, l’Azalea ou le Rhododendron, arbres à fleurs qui rendent la floraison en printemps encore plus spectaculaire.
Le Lilas ou le Vibrunum, les bouquets de fleurs avec les palettes de couleur très satisfaisantes lors de la floraison en printemps, qui offrent avec le cornouiller un visuel très intéressant
Le Fern ou la Hosta, des plantes basses qui profitent de l’ombre du cornouiller et permettent au sol de rester humide, ils complètent le tableau pour rendre le cornouiller encore plus magnifique.

Conseils

Le cornouiller est un arbre résistant, il faudra veiller à l’hydrater régulièrement au début de sa croissance. Les plantes basses de compagnonnages permettent au sol de rester humide. Il est conseillé aussi de l’accompagner d’autres arbres cités précédemment, pour magnifier encore plus sa floraison.

Les cochenilles peuvent facilement être enlevées en secouant les parties infectées, puis en les aspergeant d’alcool.

Conclusion

En somme, le cornouiller est un arbre qui se plante assez facilement. Ses différentes variétés nous laissent une grande marge de choix pour sélectionner celle qui logera dans nos jardins. Le bouturage permet aussi de la planter autre part, sans besoin d’en racheter en pot sur le commerce. Il faudra simplement respecter les procédures du bouturage.

Pour la consommation, le cornouiller mâle est le plus conseillé, ses fruits plus volumineux nous offrent plus de matière à mettre en bouche.

Pour aller plus loin, découvrez nos articles sur :

Le cognassier du Japon

Introduction

Fiche descriptive du Cognassier du Japon

Catégorie : arbuste à fleurs

Famille : rosacées

Utilisation : décoration, haie fleurie, massif, palissé ou isolé

Exposition : ensoleillée ou mi-ombragée

Sol : ordinaire

-20°
Température Minimale

—
Température Maximale

Sommaire

Les outils et matériaux pour la culture du Cognassier du Japon
Réussir son jardin : le Cognassier du Japon
Planter le Cognassier du Japon
Entretien
Récolte et floraison
Maladies et parasites
Les différentes variétés
La compagnonnage

Les outils et matériaux nécessaires à la plantation du Cognassier du Japon

Lors de la plantation du Cognassier du Japon, vous aurez besoin du matériel suivant :

D’une bêche
D’un arrosoir
De la terre de jardin et de terreau mélangés
Du compost

Réussir son jardin : le Cognassier du Japon

Avant la plantation

Avant de planter cet arbuste dans la terre, la première étape est d’abord de la travailler, de préférence sur une hauteur de bêche. Il faudra ensuite l’amender de compost avant de placer l’arbuste à fleurs.

Planter le Cognassier du Japon

Après avoir fait un mélange de terre de jardin et de terreau, vous pouvez à présent ajouter du sable à la terre pour améliorer son drainage. Vous pouvez ensuite placer l’arbuste en espaçant chaque plant de 1 à 1,50 m, reboucher et tasser. Vous devrez ensuite arroser, et pendant le premier été, l’intervalle de l’arrosage doit être de 15 jours. En tout cas si la période de plantation est au printemps, il faut veiller à arroser si jamais il y a un manque de précipitation.

Entretenir le Cognassier du Japon

Pour entretenir le cognassier du Japon, il doit être taillé régulièrement après la floraison. Vous avez alors le choix d’intervenir ou non pour lui donner une forme précise ou le laisser pousser naturellement. Dans tous les cas, il embellira votre jardin à merveille à la fin de l’hiver. Si vous le plantez en haie, il faudra le tailler jusqu’à deux fois par an pour que la floraison soit plus dense.

Chaque année durant le printemps, un paillage devra être effectué avec du compost et pendant l’automne avec du fumier décomposé.

Pour que les autres variétés de plantes puissent consommer l’eau de la terre, cette dernière doit toujours être nettoyée et laissée dans un état propre en permanence autour du pied de l’arbuste.

Pour aller plus loin : découvrez notre article sur la taille du Cognassier du Japon

Récolte et floraison du Cognassier du Japon

Dès le mois de février, vous aurez le plaisir de voir apparaitre une floraison par 2 à 4 fleurs. Leur apparition précède celle des feuilles.

Un grand avantage avec le cognassier du Japon, c’est que mis à part sa magnifique floraison, ses fruits sont également comestibles. Leur récolte peut se faire de septembre à octobre. Cependant ces fruits devront être consommés cuits et non crus étant donné qu’ils sont astringents. Il est alors possible d’en faire de la gelée ou de la confiture.

Pour allez plus loin : découvrez notre article sur les fruits du Cognassier du Japon

Maladies et parasites du Cognassier du Japon

L’entomosporiose :
qui affaiblit l’arbre jusqu’à la chute des feuilles. Reconnaissable par des taches rondes et brunes sur les feuilles ainsi que de petites croûtes qui renferment le champignon.

La moniliose :
qui intervient en période d’humidité. Les fleurs sèchent et tombent, et les fruits sont couverts de taches brunes. Et même s’ils restent attachés à l’arbre, ils vont néanmoins pourrir.

L’oïdium :
les signes pour le reconnaitre sont notamment la déformation des bourgeons et des boutons floraux, ainsi que le dessèchement des fleurs et le flétrissement des feuilles recouvertes de poudre blanche.

Les différentes variétés du Cognassier du Japon

Actuellement, nous pouvons classer le cognassier du Japon en trois différentes espèces :

La chaenomeles japonica : de 1 à 2 m
La chaenomeles speciosa : de 1 à 1,50 m
La chaenomeles x superba : de 1 à 1,50 m

Le compagnonnage

Dans l’optique de donner un excellent rendu visuel de votre jardin :

Dans une haie fleurie, il sera recommandé de l’accompagner d’un camélia, ou encore d’un laurier tin avec une floraison simultanée.
En tant que haie défensive, il peut s’accompagner du prunellier, de l’argousier et de l’aubépine.
Dans un massif, vous pouvez l’associer avec le noisetier, le forsythia, le corylopsis.

Conseils

S’il arrive que votre cognassier du Japon soit attaqué par différents maladies et parasites, vous pouvez les soigner comme suit :

Pour l’entomosporiose : avant et après la floraison, traiter avec de la bouillie bordelaise et enlever les feuilles et fruits atteints.
Pour la moniliose : un bon espacement entre chaque plant, une bonne taille de l’arbre et un traitement à base de bouillie bordelaise une fois les feuilles tombées en automne.
Pour l’oïdium : une bonne taille, un arrosage régulier et un traitement bio à base de soufre.

Conclusion

Le cognassier du Japon est un arbuste à fleurs qui fournira à votre jardin une magnifique floraison et des fruits comestibles. Vous pouvez également l’utiliser en tant que haie défensive, mais dans ce cas là il faut éviter de le placer près des aires de jeux pour enfants à cause des épines. Sa plantation est aisée, et le parfum de ses fruits embaumera votre habitation. Par ailleurs, il est également un très bon voisin des forsythias, du laurier-tin et bien d’autres plantes. Et en plus, sa floraison est précoce et dure assez longtemps.

La Chayotte

Introduction

Fiche descriptive de la Chayotte

Catégorie : légume (potager)

Famille : cucurbitacées

Utilisation : consommation humaine et animale

Exposition : ensoleillée

Sol : riche en humus

-5°
Température Minimale

—
Température Maximale

Sommaire

Les outils et matériaux pour la culture de la Chayotte
Réussir son jardin : la Chayotte
Planter la Chayotte
Entretien
Récolte et floraison
Maladies et parasites
Les différentes variétés
La compagnonnage

Les outils et matériaux nécessaires à la plantation de la Chayotte

Lors de la plantation de la Chayotte, vous aurez besoin du matériel suivant :

D’une fourche-bêche
Du fumier ou du compost
Des cendres

Réussir son jardin : la Chayotte

Avant la plantation

Pour réussir la plantation de la chayotte, il faudra d’abord préparer le sol. Pour que ce dernier soit bien fertilisé, il faudra l’amender.

D’abord, déposez du fumier ou du compost sur la surface pendant l’automne qui précède la plantation. Ce sera également mieux si vous avez la possibilité d’y ajouter de la cendre.

Ensuite, retournez la terre en profondeur avec une fourche-bêche pour que les éléments dans le mélange soient homogènes. La fourche-bêche aide également à préserver la faune souterraine qui aide au développement de la plante tel que les vers de terre.

Enfin, durant le printemps, avant le repiquage, veillez à retravailler le sol.

Planter la Chayotte

La plantation de la chayotte doit suivre quelques étapes. La première consiste notamment à placer un fruit entier à l’horizontale dans un grand pot garni de terreau. Le fruit devra alors être enfui jusqu’à deux tiers de sa hauteur. Ensuite, il faut placer le pot dans un espace lumineux, protégé du froid et du gel.

Une fois qu’un plant vigoureux est apparu, la deuxième étape est le repiquage en pleine terre qui intervient généralement au mois de mai, lorsqu’il n’y a plus de gel à craindre. Quand le pied est replanté, installez un treillage d’une hauteur et d’une solidité suffisante pour le support du feuillage et des fruits.

Entretenir la Chayotte

La chayotte est très sensible à la sècheresse, aussi son arrosage doit se faire régulièrement et abondamment. Tailler la chayotte n’est pas indispensable, mais si vous voulez densifier ses feuilles lors de sa croissance, une coupe sur les jeunes plants peut être effectuée.

Récolte et floraison de la Chayotte

Les fruits de la chayotte se récoltent généralement au mois d’octobre ou même en novembre étant donné leur retard d’apparition.
La particularité de ces fruits est surtout leur conservation qui peut durer très longtemps une fois stockés au frais. Ils sont consommables même plusieurs mois après la récolte.

Maladies et parasites de la Chayotte

La christophine est une plante extrêmement résistante. Elle ne fait pas l’objet de beaucoup d’attaques venant des parasites et les maladies ne l’atteignent pas vraiment non plus.

Les différentes variétés de la Chayotte

Différents pays cultivent la chayotte, mais actuellement les variétés ne sont pas dénommées étant donné que ce sont des cultures locales. Notamment, la chayotte peut varier selon la couleur du fruit — qui peut passer du vert au jaune — ou si le fruit possède des épines ou non.

La chayotte est aussi appelée légume chouchou ou bien la christophine.

Le compagnonnage

La chayotte peut se planter également en suivant les principes de la permaculture. Pour cela, l’association qui lui sera favorable est alors sa plantation au pied d’un arbre fruitier sur lequel elle pourra grimper.

Conseils

Les jardiniers professionnels recommandent d’appliquer un épais paillage au pied de la christophine. De ce fait, cela limitera à la fois les pertes d’eau par évaporation en été et protègera le pied contre les gelées en hiver. Une fois que la récolte est effectuée, il faut également éliminer les lianes.

Et comme précisé plus haut, toutes les parties de la chayotte se consomment :

Les jeunes pousses de printemps peuvent se manger comme des asperges
Les fruits peuvent être consommés à la fois crus et cuits
Les feuilles peuvent être cuisinées et consommées comme des épinards
Les tubercules se préparent d’une manière similaire à la préparation des pommes de terre.

Conclusion

La chayotte est une plante utilisable en entier : des jeunes pousses jusqu’aux tubercules, tout peut est comestible. Sa culture est assez simple, et la conservation des fruits peut se faire plusieurs mois après la récolte. Bien qu’elles ne soient pas encore dénommées, les différentes variétés se distinguent notamment avec la couleur des fruits ou s’ils sont dotés d’épines ou non. En tout cas, en cuisine — aussi bien crue que cuite — la chayotte fait des merveilles pour les papilles.

Le Cactus de Noël

Introduction

Fiche descriptive du Cactus de Noël

Catégorie : plante d’intérieur

Famille : cactacées

Utilisation : décoration intérieure

Exposition : lumineuse, mais sans soleil direct

Sol : Terreau

15°
Température Minimale

25°
Température Maximale

Sommaire

Les outils et matériaux pour la culture du Cactus de Noël
Réussir son jardin : le Cactus de Noël
Planter le Cactus de Noël
Entretien
Récolte et floraison
Maladies et parasites
Les différentes variétés
La compagnonnage

Les outils et matériaux nécessaires à la plantation du Cactus de Noël

Lors de la plantation du Cactus de Noël, vous aurez besoin du matériel suivant :

Des billes d’argile
Un mélange de terreau et sable
De l’engrais à potasse

Réussir son jardin : le Cactus de Noël

Avant la plantation

Le choix du contenant doit se faire judicieusement. Il est préférable de choisir un pot en terre cuite pour favoriser la stabilisation de la plante avec un trou de drainage.

Découvrez notre article sur : comment bouturer le cactus de noël

Planter le Cactus de Noël

Une fois que vous aurez trouvé l’emplacement idéal pour votre cactus de Noël dans votre habitation, la plantation est assez facile et ne nécessite pas vraiment de la terre. Juste du terreau et un pot avec un format adapté pour la plante.

Vous devez ensuite effectuer un rempotage tous les 3 à 4 ans après la période de floraison pour garantir son développement. Et pour cela, il vous faut préparer :

Un lit de drainage avec des billes d’argiles qui doivent être placées au fond du pot
Un substrat composé d’un mélange de terreau et de sable avec des proportions égales
De l’engrais à potasse, à verser une fois par mois pendant la croissance de la plante.

L’arrosage doit se faire une fois par semaine, mais prenez garde de ne pas laisser trainer de l’eau stagnante pour éviter que les racines ne pourrissent.

Entretien du Cactus de Noël

Pour assurer une bonne évolution de votre plante, il faut lui réserver un entretien particulier, surtout une fois que sa floraison est terminée. L’arrosage doit cesser pendant 20 jours, et dès que des jeunes poussent commencent à apparaitre, l’arrosage peut être repris.

Pendant l’été, vous pouvez placer le cactus de Noël à l’extérieur de la maison, à condition de lui réserver un endroit ombragé.
Tailler le schlumbergera n’est pas vraiment nécessaire, mais il faut effectuer un équilibrage pour que la plante soit compacte et que de nouvelles pousses apparaissent. Les segments coupés durant la taille peuvent également servir pour le bouturage.

Pour aller plus loin : découvrez notre article sur l’entretien du cactus de noël

Récolte et floraison du Cactus de Noël

Il faut savoir que cette plante fleurit tant que la durée de la nuit est suffisamment longue. Le développement du schlumbergera intervient surtout durant les jours courts

Pour aller plus loin : découvrez notre article sur la floraison du cactus de noël

Maladies et parasites du Cactus de Noël

Les principaux ravageurs du cactus de Noël qui ont été identifiés jusqu’ici sont les limaces, les chenilles et les escargots. Néanmoins si la plante se trouve à l’intérieur de votre habitation, elle est protégée. Les aleurodes risquent également d’attaquer le schlumbergera et ainsi l’affaiblir.

Par ailleurs, si l’entretien n’est pas bien effectué, des champignons risquent d’envahir la plante.
Un bon emplacement et un bon entretien suffisent alors à protéger le cactus de Noël des maladies et des parasites.

Les différentes variétés du Cactus de Noël

Actuellement, 6 espèces de Cactus de Noël (Schlumbergera) sont recensées :

Le schlumbergera kautskyi
Le schlumbergera opuntioides
Le truncata, avec des feuilles dentées
Le schlumbergera russelliana pour une floraison printanière
Le orssichiana avec une floraison en octobre
Le microsphaerica

Le compagnonnage

Étant une plante qui se cultive uniquement en pot et qui se place généralement à l’intérieur d’une habitation, le cactus de Noël est une plante qui est souvent isolée, alors actuellement les plantes amies ou ennemies du schlumbergera ne sont pas encore identifiées.

Conseils

Si vous remarquez que des feuilles du schlumbergera commencent à tomber, c’est peut-être à cause d’un déplacement récent, d’un courant d’air ou encore d’un problème d’arrosage.

Conclusion

Le schlumbergera tient son nom « cactus de Noël » du fait que cette plante fleurit en décembre. Pour réussir sa floraison, il faut lui réserver un bon emplacement et un bon soin pour le protéger des maladies et des parasites. Assez facile à planter, le cactus de Noël a également une vertu dépolluante.