Sol : Calcaire, sableux, caillouteux, drainé, alcalin ou neutre.
– 7° Température Minimale
— Température Maximale
Sommaire
Les outils et matériaux pour la culture la santoline Réussir son jardin : la santoline Planter la santoline Entretien Récolte et floraison Maladies et parasites Les différentes variétés La compagnonnage
Les outils et matériaux nécessaires à la plantation de la santoline
Lors de la plantation de la santoline, vous aurez besoin du matériel suivant :
Une bêche
Du gravillon, du sable.
Réussir son jardin : la santoline
Avant la plantation
Ayant une préférence pour du sol sec, calcaire, maigre et caillouteux, la santoline s’adapte aussi sur du sol ordinaire, mais bien drainé et pas trop riche. Il faut donc éviter les sols humide et riche, car cela rend la santoline fragile, surtout plus durant l’hiver. Une exposition au soleil lui sera indispensable.
Pour améliorer le drainage des sols ordinaires, on peut ajouter du sable et du gravier dans le substrat.
Planter la santoline
Il faut faire la plantation hors des périodes de gel, de préférence au printemps ou en automne. Les étapes à suivre lors de la plantation sont notamment :
Préparation du sol, il faut s’assurer que le sol soit bien drainé, bien sableux, aucun apport nutritif du sol ne devra se faire.
Installation des plantes, en espaçant les uns des autres d’au moins 50 cm.
Rabattre les plants de moitié pour leur permettre de s’étoffer.
Entretien de la santoline
Grâce à sa commodité à la sécheresse et au froid, la santoline ne requiert peu d’apport en eau et aucun amendement en engrais. Juste pour les plantes en croissance, durant les périodes de sécheresse prolongée apporter un demi-litre d’eau par semaine. Si la plante est en pot, il ne faut arroser que quand le substrat est sèche en profondeur. Il faut éviter d’arroser sur les feuillages. En cas de gel, on peut aider la plante en la recouvrant d’un voile d’hivernage. Même si les tiges succombent au gel, la plante repart du pied, il faudra supprimer les plus vieilles tiges fragiles.
L’entretien de la santoline consiste à garder sa forme ronde et étoffée. Le taillage se fait en Mai, en supprimant les boutons floraux dès leur apparition. On supprime également les touffes après chaque floraison.
Récolte et floraison de la santoline
La floraison a lieu durant Juin à Septembre, les fleurs sont jaunes ou blanches selon les espèces. La taille en été permet de recueillir les rameaux de fleurs été de les faire sécher pour en faire des bouquets. On les utilise également pour repousser les mites dans les armoires en les mettant dans un emballage en tissu.
La multiplication de la santoline se fait par semis au printemps ou en automne et par bouturage entre Juin et Août.
Maladies et parasites de la santoline
La santoline n’a aucun problème quand elle est plantée convenablement. Le sol riche, humide et l’ombre la fait pourrir.
Les différentes variétés de la santoline
Il a actuellement 20 différentes espèces de santoline. On les distingue par la couleur de leurs feuillages, voici les plus connues :
Santoline petit-cyprès, la plus résistante des santolines.
Santoline serratifolia, excellente couvre-sol et pour le taillage.
Santoline tomenteuse, excellente pour massif, couvre-sol et en rocaille
À feuillage vert :
Santoline à feuille de romarin, pour les rocailles sèches, muret, jardin de gravier, bordure, massif, couvre-sol, auge.
Santoline feuillage argenté
Santoline feuillage vert
Le compagnonnage
La santoline dégage une forte odeur qui déplait aux insectes et acariens, cela fait d’elle une compagne idéale pour les plantes de potagers et les arbres fruitiers. Elle va aussi avec toutes les autres plantes pour jardin sec, les vivaces résistantes à la sécheresse et vivaces méditerranéennes tels que les thyms, les sauges, les hélianthèmes, les armoises, les sedums et les romarins rampants.
Elle accompagne naturellement les lavandes, en couvre sol, elle va avec les lauriers roses, genêt rampant, le rosier grimpant et les œillets mignardise. Par-dessus les talus arides, elle va avec le delosperma à côté des arbustes de sol sec.
En termes de couleur, on peut l’associer aussi avec les plantes fleuries comme les coreopsis, les heleniums, les Iris germanica, les petites potentilles, les caryopteris, le céanothe, les aubriètes et les Perovskaia.
Conseils
La santoline est une plante qui s’adapte bien tant que le sol est bien drainé et pas trop riche, il la faut beaucoup de soleil. Son entretien consiste à maintenir sa silhouette ronde et bien épaisse. Comme son odeur repousse les insectes et les acariens, elle est souvent cultivée dans les potagers sur les littorales arides, et les animaux domestiques et fermiers peuvent également bénéficier de cette qualité de la santoline. En effet, elle est un antimite naturel.
Conclusion
Pour résumer, la santoline est une plante de terre sèche, caillouteux, bien ensoleillé. La plantation est assez facile et elle pousse rapidement. Quand elle est bien entretenue, elle devient plus résistante contre le froid. Les feuillages en plus d’être parfumé servent également de barrière contre les insectes. Cela fait d’elle une bonne compagne pour beaucoup de plante vulnérable aux insectes, mais d’innombrable autres associations peuvent se faire. L’embarras du choix est alors le seul mur à franchir pour l’accompagnement de la santoline.
Sol : Drainé et humide, alcalin ou neutre ou acide.
– 20° Température Minimale
— Température Maximale
Sommaire
Les outils et matériaux pour la culture le lobélia Réussir son jardin : le lobélia Planter le lobélia Entretien Récolte et floraison Maladies et parasites Les différentes variétés La compagnonnage
Les outils et matériaux nécessaires à la plantation du lobélia
Lors de la plantation du lobélia, vous aurez besoin du matériel suivant :
Une bêche.
Un arrosoir.
Un pot assez grand et un bac.
De l’engrais pour plante fleurie.
Réussir son jardin : le lobélia
Avant la plantation
Le lobélia peut se planter directement en pleine terre. Les plantations en bac et en pot sont plus efficaces pour l’aménagement décoratif et l’hibernation lors des gels.
Il préfère le sol bien drainé, frais et humide surtout en été mais plus drainé en hiver. On choisit un endroit bien exposé au soleil ou légèrement ombragé, mais pas sur les rayons brulants.
Planter le lobélia
Les variétés vivaces se sèment en pleine terre en automne ou en terrine comme les variétés annuelles. La plantation se fait après le dernier gel, vers mars à juin. Si la terre est trop lourde, il faudra ajouter du compost et du terreau pour un sol bien drainé. Les étapes de la plantation sont donc :
Vérification de drainage du sol. Ajuster au cas où ce serait nécessaire.
Les variétés annuelles se plantent en masse tandis que les vivaces auront besoin d’une vingtaine de centimètre d’espace entre chaque plante.
Arroser fréquemment du printemps à l’automne.
Entretien du lobélia
Le lobélia nécessite un niveau d’entretien assez moyen. L’humidité du sol est importante, surtout en été, l’utilisation de paillage sera astucieuse pour maintenir la fraicheur du sol en limitant l’arrosage. Pincer les jeunes tiges permet d’avoir plus de ramification.
Les sujets en pot auront besoin de billes d’argile, de gravier et autres composant pour que le substrat reste frais. L’utilisation d’engrais pour plante fleurie donnera une abondante floraison, efficace, cela favorisera également la pousse de la plante. Le lobélia naturellement, pousse déjà rapidement.
Pour les variétés annuelles, il faut les raser après chaque période de floraison pour stimuler leur remontée. Les variétés vivaces apprécieront l’apport de compost mûr ou encore d’engrais organique à chaque début de printemps.
Tous les deux ans, diviser les pieds en printemps permets de les rajeunir.
Récolte et floraison du lobélia
La floraison a lieu entre mai à octobre, les fleurs à 5 pétales ont 2 tournés vers le haut, et trois vers le bas. Selon les variétés, les fleurs peuvent avoir une coloration blanche, rouge, rose, violette ou encore bleue. Le lobélia se multiplie par semis et par division des touffes au printemps.
Maladies et parasites du lobélia
La pourriture du collet : Causée par le froid et un sol mal drainé.
Les escargots et les limaces : Ils endommagent les jeunes feuilles en printemps.
Les différentes variétés du lobélia
Les variétés de lobélia les plus connues sont :
Les lobélias vivaces :
Lobelia cardinalis, cardinale des marais, fleurs en grappe au rouge écarlate.
Lobélie à fleurs lâches, fleurs tubulaires, rouge orangé.
Tabac du diable, fleur rouge sombre à calice violet.
Le lobélia annuel :
Lobelie erinus, nombreuses petites fleurs bleues à violet ou rose ou blanche selon les sous variétés.
Lobélia cardinale
Lobélia érinus
Le compagnonnage
Le lobélia avec sa silhouette aux formes diversifiées est important pour l’intégration en massif floral, ou aux bords de l’eau, les variétés annuels en suspension. On l’accompagne idéalement :
En massif avec les lavatères, les cléomes.
En plate-bande avec les phlox, les astilbes tardives, les anémones, les impatiens.
En tapissante avec le rosier buisson ou la clématite.
Si les fleurs sont rouges, avec les chardons bleus et les asters, les Pennisetum, Stipa, Carex, les grandes verveines.
Si les fleurs sont bleutées, avec les cinéraires, les hélichrysum, les petites fétuques, la hosta, les bidens, les géraniums vivaces, les roses d’Inde et les véroniques.
En pot ou en suspension avec le pétunia et les calibrachoas.
Conseils
Le lobélia requiert moins d’attention quand le sol lui convient naturellement, ce serait alors mieux de le planter sur un biotope qui le convient. En effet, la plantation sur une terre non convenable malgré beaucoup d’effort d’entretien sera la plupart du temps décevante. Il faut faire attention à ce que le sol reste frais en été et arrêter les arrosages en fin d’automne.
Les escargots et les limaces se préviennent grâce aux cendres et aux coquilles d’œuf. Si les plantes sont en pot, il serait plus judicieux de les rentrer lors des gels.
Conclusion
En somme, le lobélia est une plante résistante dans un environnement qui lui est favorable. Il s’associe à une large panoplie de plante à fleur, selon les variétés et nos préférences. Sa longue floraison fait de lui une excellente plante décorative. Il se multiplie facilement et s’entretient aisément lorsqu’il est dans le bon biotope.
Les outils et matériaux pour la culture du laurier tin Réussir son jardin : le laurier tin Planter le laurier tin Entretien Récolte et floraison Maladies et parasites Les différentes variétés La compagnonnage
Les outils et matériaux nécessaires à la plantation du laurier tin
Lors de la plantation du laurier tin, vous aurez besoin du matériel suivant :
D’un transplantoir
De la terre et du compost mélangés
D’un arrosoir
De billes d’argiles
Réussir son jardin : le laurier tin
Avant la plantation
Cette étape consiste principalement à choisir le bon emplacement pour votre plante. Si votre région d’habitation a droit à un climat très froid à l’hiver, il faut choisir un endroit très ensoleillé et à l’abri du vent. Toutefois, ne le plantez pas à l’est, car les fleurs et les jeunes pousses courent ainsi le risque d’être grillées par le soleil matinal.
Planter le laurier tin
Après avoir déterminé le bon emplacement, l’étape suivante est de creuser un trou dont les dimensions sont le double de la motte que vous mettrez en terre. Ajoutez-y du compost. Quant à la motte, il est nécessaire de la tremper dans une grande bassine d’eau jusqu’à ce qu’aucune bulle n’apparaisse, et ensuite égouttez-la et placez -la dans le trou de plantation.
Une fois mis en terre, où la surface de la motte atteint le même niveau que le sol, terminez l’étape de la plantation en y ajoutant un mélange de terre et de compost. Tassez avec les mains et aménagez une cuvette autour pour ensuite finir avec un arrosage généreux.
Sa multiplication se fait par bouturage, mais le marcottage est également possible.
Entretien du laurier tin
Dans l’ensemble, l’entretien du laurier tin comporte deux éléments importants : l’arrosage et la taille. Le premier est surtout nécessaire durant la première année de plantation. Pendant cette période, il devra être arrosé régulièrement. Si vous le plantez dans un pot ou en bac, arrosez dès que la terre en surface semble sèche.
Généralement la taille n’est pas nécessaire, car vous pouvez le laisser pousser comme il veut. Seulement, si vous le plantez en haie ou en pot, vous pouvez effectuer des opérations pour le réduire. Pour un équilibrage de la ramure, il faut attendre que la floraison se termine. Pour redonner de la vigueur à la plante et pour densifier le feuillage et améliorer sa floraison par la même occasion, la taille doit se faire tous les 2 à 3 ans.
Récolte et floraison du laurier tin
Pendant l’hiver, sa floraison est surtout constituée de petites fleurs blanches qui restent ainsi même en vieillissant. Son feuillage persistant est également orné des baies de couleur rose foncé pendant l’automne. Que ce soit dans un pot, en massif, sur votre terrasse ou votre balcon, la floraison du laurier tin confèrera de la lumière à votre habitation pendant le froid de l’hiver.
Par contre, il est différent des autres lauriers, car ses baies ne sont pas comestibles pour les êtres humains. Elles pourraient même être toxiques alors laissez les oiseaux – qui, eux, peuvent les supporter – les consommer pendant la floraison.
Maladies et parasites du laurier tin
Le grand avantage du laurier tin, mis à part sa rusticité, est le fait qu’il est également très résistant aux maladies et aux parasites.
Toutefois, un sol trop humide ou une atmosphère sèche sont des conditions de désagrément pour la plante. Le premier peut faire apparaître des maladies cryptogamiques et la deuxième des araignées rouges.
Les différentes variétés du laurier tin
Pour l’espèce Viburnum tinus, on distingue principalement sur le marché dix variétés :
Le marcrophyllum avec des boutons roses et de petites fleurs blanches à blanc rosé
Le french white avec des feuilles plus larges que les autres variétés
Le compactum avec une taille réduite par rapport aux autres variétés, mais un port plus compact
Le variegatum avec des boutons de couleur rouge
Le bewley’s variegated dont le feuillage est vert pâle et brillant
L’eve price avec des boutons floraux de couleur rose foncé et des fleurs blanc rosé
Le gwenllian avec des boutons rose vif et des fleurs blanc rosé
Le purpureum, dont les feuilles sont de couleur pourpre
Laurier tin eve price
Laurier tin marcrophyllum
Le compagnonnage
Si vous plantez le laurier tin en massif, il s’accorde bien avec les rhododendrons, les jasmins d’hiver, les tulipes et les conifères. Pour une plantation en haie, les fleurs peuvent être plantées en alternance avec le cornouiller et le seringat, mais aussi associées avec le weigélia et des kolkwitzias, des muguets, des alliums et des camassias
Conseils
Même si cela arrive rarement, en cas d’invasion d’araignées rouges sur votre plante, douchez le dessous des feuilles avec le jet d’un tuyau. Si cette opération ne suffit pas, vous pouvez y appliquer une macération de feuilles de tabac qui est à la fois naturelle et efficace.
Conclusion
Le laurier tin est un arbuste à fleurs qui donnera de la lumière à votre habitation pendant le froid de l’hiver avec ses couleurs blanches et blanc rosé. Très résistantes aux maladies et aux parasites, veillez cependant à ne pas le planter dans une terre trop humide ou dans une atmosphère trop sèche. Avec un entretien facile, il peut se multiplier par bouturage et par marcottage. Et même si l’homme ne peut consommer ses baies, les oiseaux s’y donnent à cœur joie.
Sol : Argileux et humus, drainé et humide, neutre.
-20° Température Minimale
— Température Maximale
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Les outils et matériaux pour la culture de la hosta Réussir son jardin : la hosta Planter la hosta Entretien Récolte et floraison Maladies et parasites Les différentes variétés La compagnonnage
Les outils et matériaux nécessaires à la plantation de la hosta
Lors de la plantation de la hosta, vous aurez besoin du matériel suivant :
Une bêche et une fourche.
Un pot.
De l’engrais organique.
Du terreau et du sable grossier.
Réussir son jardin : la hosta
Avant la plantation
La Hosta s’accommode au sol frais et argileux, avec une constante humidité. Il faudra éviter les sols secs et une exposition à la chaleur brûlante du soleil. Par ailleurs, il faut savoir qu’il n’apprécie pas les vents forts, donc on évite de les planter sur les endroits venteux.
Les plantes en conteneur se plantent plus facilement, contrairement aux jeunes pousses en godets qui requièrent plus de délicatesse. Avant de les planter en pleine terre, la solution des cultivateurs pour réussir la plantation consiste à laisser la plante grandir en pot durant une ou deux saisons, pour qu’il se pousse plus facilement.
Planter la hosta
La plantation devrait avoir lieu au printemps ou à l’automne. Voici les étapes de la plantation :
Préparer un mélange d’engrais organique à 10%, de terreau à 30%, du sable grossier à environ 35%, et ajouter de la terre du sol.
Installer les plantes avec la terre du conteneur dans un trou de 20 cm de diamètre.
Combler le contour des racines avec le substrat.
Arroser le sol régulièrement durant les périodes hors gels.
Chaque plante devrait avoir chacun au moins une trentaine de centimètre d’espacement
Entretien de la hosta
Si l’hosta est en pleine terre ou en bac, l’apport de compost ou de fumier au sol chaque année, en printemps, sera bénéfique pour la plante. En effet, cela permettra au sol de retenir l’humidité et de rester fertile. L’arrosage quotidien en matinée est préférable pour éviter les limaces et pour résister contre la sècheresse en journée durant l’été. Il faut éviter d’arroser sur les feuillages pour ne pas les endommager.
Si l’hosta est en pot, il faudra que le pot soit constamment plus grand que l’envergure des feuillages. Pour éviter les rempotages répétitifs optez pour de grands pots, surtout s’il y a plusieurs plantes dans le même pot. L’hosta a effectivement une croissance assez rapide. Par ailleurs, les inflorescences devraient être enlevées après chaque floraison.
Récolte et floraison de la hosta
La floraison a généralement lieu durant juillet-aout, avec les fleurs aux couleurs blanches ou mauve ou rose, selon les variétés.
On récolte annuellement l’hosta au printemps, quand les pousses et jeunes feuilles sont tendres, en effets on peut consommer ces feuillages-là, ainsi que les fleurs.
La multiplication de l’hosta s’effectue par la division des racines à chaque tige, puis on enlève les plus vielles feuilles.
Maladies et parasites de la hosta
Les brûlures des bords des feuilles à cause d’une exposition en excès au soleil.
Les escargots et les limaces, qui grignotent les jeunes feuilles encore enroulées.
Les différentes variétés de la hosta
On enregistre maintenant environ 2000 variétés cultivars et hybrides de l’hosta, en culture on reconnait généralement :
Les hostas parfumés :
plantaginea var. grandiflora, avec de grandes fleurs blanches au parfum d’oranger, sa floraison dure de juillet à septembre, il supporte le soleil et ses feuilles ovales sont vert pâle.
Fragrant Queen, avec un feuillage au bord crème, les fleurs presque blanches, il est connu pour sa résistance contre les limaces.
Sweetie, avec de grandes fleurs lavande pâle, les feuilles chartreuses aux bordures blancs, on l’apprécie pour sa rusticité.
Warwick Essence, fleurs blanches, grandes feuilles rondes bleu gris, larges et à rayures, ses feuillages sont peu communs pour une variété aux fleurs parfumées.
Les petits hostas :
Cherry Berry, fleurs lavande, sur des tiges rouge violacés, feuilles lancéolées, blanches aux bandes irrégulières de vert foncé et claire, on l’accompagne en pot d’un bonsaï.
Small Parts, fleurs mauves, petites feuilles vert foncé et luisantes, résistant aux limaces.
Hosta small parts
Hosta sweetie
Le compagnonnage
L’hosta est un compagnon idéal pour un bon nombre de plantes et d’arbustes :
En pot :
Des plantes telles que des vivaces comme l’astilbe, des fougères telles que le brunnera, le pulmonaria et quelques graminées.
Des arbustes comme les bambous, les orangers du Mexique, les azalées et les cornus.
En massif :
En groupement avec d’autres variétés d’hosta, par 3 ou par 5 différentes variétés, toujours espacés les uns des autres d’une trentaine de centimètre.
En association avec d’autres arbustes, de vivaces ou même d’arbre, qui vivent tous dans un biotope humide, comme les cognassiers du japon, les chèvrefeuilles arbustifs, les viornes, les hortensias, les pieris et les physiocarpus.
Conseils
L’humidité est importante, mais il faut éviter d’arroser plus d’une fois par jour. Les limaces et escargots se débarrassent grâce aux cendres de bois au printemps, les coquilles d’œuf également confèrent une défense efficace contre ces parasites. Un paillis de chanvre ou de paillette de lin aussi peuvent être des alternatives. Les variétés à feuilles épaisses sont plus résistantes à ces parasites. Il y a de rare variétés résistantes au soleil mais la plupart auront besoin d’ombre. Celles avec les feuilles bleutées sont plus résistant au soleil.
Un apport d’engrais chaque début de printemps permet une pousse plus rapide durant l’année. Surtout lors des divisions, chaque 2 ou 3 ans, cela permet une multiplication plus rapide.
Conclusion
L’hosta est en somme une plante ornementale, facile d’entretien quand il est dans la bonne atmosphère. Il pousse rapidement et se multiplie facilement. Ses différentes variétés nous laissent une large panoplie de choix pour l’association avec d’autre végétation. L’entretien est aisé et ne requiert pas de beaucoup d’effort surtout quand la terre est la bonne.
À part leur utilisation décorative commune, l’hosta peut également se consommer, certaines variétés japonaises sont recherchées en gastronomie pour leurs goûts exceptionnels.
Conseils
La santoline est une plante qui s’adapte bien tant que le sol est bien drainé et pas trop riche, il la faut beaucoup de soleil. Son entretien consiste à maintenir sa silhouette ronde et bien épaisse. Comme son odeur repousse les insectes et les acariens, elle est souvent cultivée dans les potagers sur les littorales arides, et les animaux domestiques et fermiers peuvent également bénéficier de cette qualité de la santoline. En effet, elle est un antimite naturel.