Tout simplement majestueux cet érable de Japon Acer Palmatum Atropurpureum avec son port arrondi recouvert de feuillage pourpre à rouge en automne. Il sera toujours parfait que ce soit dans un petit ou un grand espace extérieur pour y apporter un bel ombrage.
Acer Palmatum Atropurpureum : description et caractéristiques
Du genre Acer, une espèce palmatum et de variété Atropurpureum, l’Acer Palmatum Atropurpureum est un érable rustique qui appartient à la famille des Aceraceae. Il provient de l’est de la Chine, de la Corée et du Japon, un arbuste typique des jardins zen orientaux. Ce petit arbre au port arrondi s’élève sur 5 m de haut et sur un étalement de 4 m à sa maturité.
Les jeunes rameaux de l’Acer Palmatum sont habillés d’une écorce brun rougeâtre, garnis d’un magnifique feuillage caduc, pourpre, opposé, palmé et découpé en 5 à 9 lobes dentés. En automne, ses feuilles prennent une teinte plus vive rouge qui illumine son entourage. En Avril, son inflorescence reste discrète sous ce feuillage rouge fourni. Ce sont de petites fleurs rouges groupées en petits bouquets. Il donne des fruits rouges qui sont également très décoratifs.
Acer palmatum Atropurpureum : ses exigences
L’érable du Japon est un petit arbre facile de culture et d’entretiens. Il se développe dans une terre, de préférence acide, frais, fertile, souple et bien drainée. Il ne réussit pas dans un terrain lourd et stagnant.
Celui-ci aime également les situations mi-ombragées, bien abritées des vents froids et secs. Les fortes chaleurs brûlent ses feuilles éclatantes. Les plantes qui sont exposées au soleil ont besoin d’être de paillis à leur pied pour les maintenir au frais.
Acer palmatum Atropurpureum : ses exigences
L’érable du Japon Acer Palmatum est une bonne proie pour les insectes en particulier les cochenilles farineuses et les chenilles mangeuses de feuilles. Il est préférable d’agir très tôt pour éliminer ces nuisibles avant qu’ils anéantissent toute la plante.
Il est également très sensible à la verticilliose qui entraîne le jaunissement suivi de la chute des feuilles. Celle-ci est surtout due à un sol stagnant gorgé d’humidité.
L’armillaire, un champignon redoutable, produit le pourridié, une maladie cryptogamique qui entraîne le pourrissement des racines.
Des taches noires peuvent également se former sur à la surface des feuilles qui sont dues à des champignons microscopiques. Un traitement par des solutions cupriques peut stopper son expansion.
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